Cybersécurité : la Guinée valide son document de politique et stratégie nationales.

Data breaches and other types of modern, large-scale cyberattacks have been making headlines for more than a decade, but recently, it seems like organizations in the life sciences and healthcare industry have been taking on more than their fair share. As it turns out, it doesn’t just seem that way – it’s actually happening according to Verizon’s 2017 Data Breach Investigations Report, which states that 15% of these attacks hit healthcare organizations.

Cybersécurité : la Guinée valide son document de politique et stratégie nationales.

Cybersécurité : la Guinée valide son document de politique et stratégie nationales.

Data breaches and other types of modern, large-scale cyberattacks have been making headlines for more than a decade, but recently, it seems like organizations in the life sciences and healthcare industry have been taking on more than their fair share. As it turns out, it doesn’t just seem that way – it’s actually happening according to Verizon’s 2017 Data Breach Investigations Report, which states that 15% of these attacks hit healthcare organizations.

Après quatre jours d’intenses travaux, la République Guinée à travers un atelier, a validé ce jeudi 7 avril, un document de politique et stratégie nationales en matière de Cybersécurité.

Ce document constitue désormais une référence en matière de politique et stratégie de cybersécurité, il définit les principales orientations à travers des lois et des règlements pour les cinq prochaines années (2022 à 2027).

Dans son discours de circonstance, Bamba Oliano, Secrétaire général du Ministère des postes, Télécommunications et de l’Economie Numérique a indiqué, pour les cinq prochaines années, le choix est porté sur une approche de complémentarité et de synergie avec l’ensemble des structures engagées dans la prévention et la lutte contre la cyberattaque et l’utilisation illicite des données à caractère personnel.

Les défis sont énormes, parce qu’il y a une certaine exacerbation de la commission des infractions dans le domaine numérique, il va falloir définir une collaboration et surtout, un cadre juridique et règlementaire  très strict, souligne Boubacar Sidy Keita, Conseiller juridique de l’ANSSI.

Plusieurs participants venus de différents horizons notamment, la police nationale, la gendarmerie, les différents corps de l’armée, des techniciens, des ingénieurs, des hauts fonctionnaires de l’état, des responsables d’entreprises, la société civile, des ONG, des professionnels et des étudiants ont contribués à la réussite des travaux de cet atelier.

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